Reconnaissance des droits territoriaux

Je souhaite également profiter de ce texte sur mon approche pour reconnaitre que je fais ce travail depuis un territoire non cédé qui appartient aux communautés N’dakina et Wabanaki et que je suis née, que j'ai grandis et vécu jusqu'à récemment sur un territoire qui appartient aux Kanienʼkehá et Ho-de-no-sau-nee-ga (source Native-land.ca). Que je suis une invitée sur ce territoire sans y avoir été invitée et que ma maison et mon terrain actuel «m'appartiennent» sur papier parce qu'il leur a été enlevé lors de l'arrivée des colons Français et Anglais. 

Et parce que j'ai une formation en travail social, je tiens également à souligner qu'il y a une surreprésentation de familles de communautés autochtones qui sont sous la Loi de la protection de la jeunesse à cause de barrières et de racisme systémique important et qu'il y a trop peu de familles des mêmes nations pour les accueillir, ils sont donc encore trop souvent déracinés lorsqu'ils doivent être confiés à une autre famille.  

Je travaille actuellement sur un document particulier à ce sujet qui se retrouvera bientôt dans le pied de mon site Internet pour être accessible depuis toutes les pages, tout comme la politique de confidentialité et les termes et conditions. Mon travail sur le sujet est en cours et loin d'être terminé.